« Salut Alain, je l'ai lu d'un trait. J'ai adoré le rythme, l'ambiance décrite, les questionnements que j'ai moi-même eu. Tu parles d'une cassure. J'ai eu cette même sensation en revenant de Londres en 85... bref c'est très bon, merci. »
— André Potvin, Montréal
« Alain, je suis extrêmement touché par la lecture de ton roman...
Ton écriture est encore plus orgiaque : que des sensations fortes, des couleurs
dans les sons, des déambulations ultra sensorielles & ultra lucides... Je capote & je ralentis le rythme de lecture pour que ça dure des mois. J'en reparle. Ce ne sont que mes premières impressions. » — Jean Noreau, Québec
« Allo Alain, juste pour te dire que ce fut un plaisir de retourner dans ton univers à travers ton livre... je trouve que tes descriptions de l'effet de la musique sur l'auditeur sont toujours d'une grande pertinence... » — José Wilson, Montréal
«Je pense toujours à t’écrire au sujet de ton livre.
Je ne sais pas comment commencer. Un mot me revient sans cesse : rupture.
Je pense même que le titre aurait pu être ‘’ Ruptures ‘’.
Il y a en plein dans ton livre.
Les 2 parties en sont la plus grande. Tout en étant complémentaires. Mais pas fusionnelles. De là, la rupture.
Il y a celles aussi d’avec les femmes. Les plus intéressantes, selon moi. C’est dans ces pages que tu te livres le plus.
Les femmes nous révèlent toujours. On vient d’elles. Pas surprenant qu’on court après. Jusqu’à ce qu’un jour on se mette à grandir. Un peu. On finit par voir qu’elles ont leurs limites. Elles aussi.
Rupture avec la famille. Rupture avec les amis. Rupture avec le punk. Rupture avec l’underground. Rupture avec l’université. Rupture avec la pub.
Tu en raconteras sans doute une autre. Celle de ton film.
Rompre, c’est se lier à soi, non ? Comme on peut, du moins.
En fait, il y a une rupture qui tu n’as pas faite. Celle avec l’écriture.
Je te souhaite de ne jamais la faire.» — Michel Savoy, Québec
«Aucun pathos dans cette chronique punk qui se déroule dans la mémoire de tout lecteur qui est passé de l'adolescence à l'âge adulte via ce vortex de vide et de recherche de soi dans un monde qui offre toutes ses désillusions, toutes les blessures, qui propulsent loin de l'image que la société chie au visage de celles et ceux qui en ont trouvé le pot-aux-rose : l'hypocrisie léthale.
DJ devançant la mode aux Foufounes électriques, personnalité commençant à être en vue, le personnage de Cliche réalise que cela constitue plus qu'un paradoxe, mais une aberration formelle en porte-à-faux d'avec son être réel. Être punk est plus qu'une étiquette, plus qu'une mode, c'est un état d'être qui ne l'abandonnera jamais.
De Québec à New York, de Montréal à Boulder, des champs de tabac jusqu'aux officines des agences de pub branchées, le personnage de Cliche demeure lui-même mais se dévoile par la force des choses. La drogue, partout et en tout lieu, n'est jamais instrumentalisée pour faire des effets dramatiques dans la construction du récit. Tout comme l'univers underground n'est jamais culpabilisable pour les actions des nombreux personnages qui hantent les pages de cette remarquable construction littéraire. DJ disions-nous ? De la première à la dernière page. Suivant les descriptions musicales et les états altérés des pistes de danse, l'écriture d'Alain Cliche se sublime tels les mix musicaux qui frôlent la transcendance au coeur des âmes ténébreuses dont il nous offre l'expérimentation à la première personne.
Je n'ai jamais été punk, je n'ai pas été junky, mais j'ai vécu l'universel qu'Alain Cliche déploie de ses pages jusqu'à nos coeurs, notre mémoire, notre trouble à vivre le réel alors que la fiction sociale s'emploie à nous la faire vénérer.» — Bruno Lefebvre, Québec
— André Potvin, Montréal
« Alain, je suis extrêmement touché par la lecture de ton roman...
Ton écriture est encore plus orgiaque : que des sensations fortes, des couleurs
dans les sons, des déambulations ultra sensorielles & ultra lucides... Je capote & je ralentis le rythme de lecture pour que ça dure des mois. J'en reparle. Ce ne sont que mes premières impressions. » — Jean Noreau, Québec
« Allo Alain, juste pour te dire que ce fut un plaisir de retourner dans ton univers à travers ton livre... je trouve que tes descriptions de l'effet de la musique sur l'auditeur sont toujours d'une grande pertinence... » — José Wilson, Montréal
«Je pense toujours à t’écrire au sujet de ton livre.
Je ne sais pas comment commencer. Un mot me revient sans cesse : rupture.
Je pense même que le titre aurait pu être ‘’ Ruptures ‘’.
Il y a en plein dans ton livre.
Les 2 parties en sont la plus grande. Tout en étant complémentaires. Mais pas fusionnelles. De là, la rupture.
Il y a celles aussi d’avec les femmes. Les plus intéressantes, selon moi. C’est dans ces pages que tu te livres le plus.
Les femmes nous révèlent toujours. On vient d’elles. Pas surprenant qu’on court après. Jusqu’à ce qu’un jour on se mette à grandir. Un peu. On finit par voir qu’elles ont leurs limites. Elles aussi.
Rupture avec la famille. Rupture avec les amis. Rupture avec le punk. Rupture avec l’underground. Rupture avec l’université. Rupture avec la pub.
Tu en raconteras sans doute une autre. Celle de ton film.
Rompre, c’est se lier à soi, non ? Comme on peut, du moins.
En fait, il y a une rupture qui tu n’as pas faite. Celle avec l’écriture.
Je te souhaite de ne jamais la faire.» — Michel Savoy, Québec
«Aucun pathos dans cette chronique punk qui se déroule dans la mémoire de tout lecteur qui est passé de l'adolescence à l'âge adulte via ce vortex de vide et de recherche de soi dans un monde qui offre toutes ses désillusions, toutes les blessures, qui propulsent loin de l'image que la société chie au visage de celles et ceux qui en ont trouvé le pot-aux-rose : l'hypocrisie léthale.
DJ devançant la mode aux Foufounes électriques, personnalité commençant à être en vue, le personnage de Cliche réalise que cela constitue plus qu'un paradoxe, mais une aberration formelle en porte-à-faux d'avec son être réel. Être punk est plus qu'une étiquette, plus qu'une mode, c'est un état d'être qui ne l'abandonnera jamais.
De Québec à New York, de Montréal à Boulder, des champs de tabac jusqu'aux officines des agences de pub branchées, le personnage de Cliche demeure lui-même mais se dévoile par la force des choses. La drogue, partout et en tout lieu, n'est jamais instrumentalisée pour faire des effets dramatiques dans la construction du récit. Tout comme l'univers underground n'est jamais culpabilisable pour les actions des nombreux personnages qui hantent les pages de cette remarquable construction littéraire. DJ disions-nous ? De la première à la dernière page. Suivant les descriptions musicales et les états altérés des pistes de danse, l'écriture d'Alain Cliche se sublime tels les mix musicaux qui frôlent la transcendance au coeur des âmes ténébreuses dont il nous offre l'expérimentation à la première personne.
Je n'ai jamais été punk, je n'ai pas été junky, mais j'ai vécu l'universel qu'Alain Cliche déploie de ses pages jusqu'à nos coeurs, notre mémoire, notre trouble à vivre le réel alors que la fiction sociale s'emploie à nous la faire vénérer.» — Bruno Lefebvre, Québec