18.04.09 - Le Devoir : «Tout a débuté avec la musique, raconte Alain Cliche dans Normal, chronique vaguement romancée d’une petite révolution personnelle […] Et c’est une véritable «conversion musicale», esthétique et existentielle qui frappe Alain Cliche (ou son narrateur) à la fin d’une adolescence vécue dans la proche banlieue de Québec...» [Christian Desmeules]
06.09.09 - Le Soleil : «Un livre où la musique est encore une fois bien présente […] ce roman ne raconte pas que des souvenirs musicaux. C’est aussi le récit d’années de révoltes, de conflits familiaux, d’amours «fuckées», d’abus de drogue, mais aussi d’amitiés inébranlables malgré l’adversité d’une adolescence où être normal était la pire des choses. » [Valérie Gaudreau]
03.11.09 - Le Délit : « Oscillant entre les bas-fonds de Québec et de Montréal […] l’action décrite par Cliche garde une certaine aura tout en refusant de tomber dans une nostalgie qui détruirait le propos extrêmement subjectif du livre. Ce n’est pas sans rappeler la qualité descriptive froide de Brett Easton Ellis […] Rien n’est épargné par souci de paraître politiquement correct. L’esthétique what you see is what you get reste donc intacte […] Normal porte aussi l’empreinte d’un véritable nerd du punk rock, à l’inverse de tant de livres effleurant à peine autre chose que les Clash et les Ramones. Alain Cliche titille les sens des mélomanes en mentionnant des groupes tels The Residents, Public Image Limited (qui sert carrément de trame sonore au livre), Peter Tosh, Kraftwerk, Ultravox et compagnie…» [Ralph Elawani]
06.09.09 - Le Soleil : «Un livre où la musique est encore une fois bien présente […] ce roman ne raconte pas que des souvenirs musicaux. C’est aussi le récit d’années de révoltes, de conflits familiaux, d’amours «fuckées», d’abus de drogue, mais aussi d’amitiés inébranlables malgré l’adversité d’une adolescence où être normal était la pire des choses. » [Valérie Gaudreau]
03.11.09 - Le Délit : « Oscillant entre les bas-fonds de Québec et de Montréal […] l’action décrite par Cliche garde une certaine aura tout en refusant de tomber dans une nostalgie qui détruirait le propos extrêmement subjectif du livre. Ce n’est pas sans rappeler la qualité descriptive froide de Brett Easton Ellis […] Rien n’est épargné par souci de paraître politiquement correct. L’esthétique what you see is what you get reste donc intacte […] Normal porte aussi l’empreinte d’un véritable nerd du punk rock, à l’inverse de tant de livres effleurant à peine autre chose que les Clash et les Ramones. Alain Cliche titille les sens des mélomanes en mentionnant des groupes tels The Residents, Public Image Limited (qui sert carrément de trame sonore au livre), Peter Tosh, Kraftwerk, Ultravox et compagnie…» [Ralph Elawani]